l'incidence de l’excès de poids sur la santé
Les Français pèsent de plus en plus lourd. Il n'est pas question ici de la balance commerciale des échanges internationaux, mais de leur balance tout court. Plus de 20% des femmes (35% des hommes) sont en surpoids et environ 10% sont obèses*. Ces chiffres sont en progression de 5% par an**.
Tout le monde sait que les kilos en trop augmentent les probabilités de développer des maladies chroniques et de décéder prématurément. Le risque de souffrir d'hypertension, d'attaque cardiaque, de diabète et de certains cancers est au moins deux fois plus élevé.
L'excès de poids à supporter a des conséquences également sur les articulations et cause fréquemment des problèmes d'arthrite. Sans compter les problèmes respiratoires, le déficit d'image et autres désordres dont peuvent souffrir les personnes obèses ou en surpoids.
Toutes ces raisons suffisent pour prendre la décision de réduire son poids et retrouver la ligne.
Tout le monde sait que les kilos en trop augmentent les probabilités de développer des maladies chroniques et de décéder prématurément. Le risque de souffrir d'hypertension, d'attaque cardiaque, de diabète et de certains cancers est au moins deux fois plus élevé.
L'excès de poids à supporter a des conséquences également sur les articulations et cause fréquemment des problèmes d'arthrite. Sans compter les problèmes respiratoires, le déficit d'image et autres désordres dont peuvent souffrir les personnes obèses ou en surpoids.
Toutes ces raisons suffisent pour prendre la décision de réduire son poids et retrouver la ligne.
qu’est-ce qui fait grossir ?
Beaucoup de personnes accusent leurs gènes d'être responsables de leur excès de poids. "Dans ma famille, on a tous une large ossature" ou "J'ai un métabolisme paresseux". Il est vrai que l'obésité a un lien avec la génétique.
Quoi qu'il en soit, les gènes ne sont pas seuls en cause. Leur activité façonne, et est façonnée, par notre comportement. On peut donc influer sur la manière dont notre corps interagit avec nos gènes. Une chose est sûre, il y a des changements physiologiques qui interviennent au fil du temps avec l'âge et qui provoquent une prise de poids.
Les années passant, la masse musculaire diminue. Les muscles constituent 47% du poids du corps à 25 ans et 20% à 60 ans. La graisse quant à elle augmente d'environ 1/3. De ce fait, le métabolisme se ralentit, le nombre de calories dépensées par le corps diminue et les kilos s'installent. Pour conserver le même poids, la quantité d'aliments consommés devra donc diminuer. C'est cette donnée qu'il est difficile d'admettre car la saveur des aliments est un plaisir en soi, et peut être un substitut à bien des déplaisirs.
La raison principale de la prise de poids, reste le fait de manger trop et de ne pas se dépenser assez. C'est une question de balance énergétique. Donc pour perdre du poids, il faut réduire sa consommation alimentaire et brûler plus de calories.
Quoi qu'il en soit, les gènes ne sont pas seuls en cause. Leur activité façonne, et est façonnée, par notre comportement. On peut donc influer sur la manière dont notre corps interagit avec nos gènes. Une chose est sûre, il y a des changements physiologiques qui interviennent au fil du temps avec l'âge et qui provoquent une prise de poids.
Les années passant, la masse musculaire diminue. Les muscles constituent 47% du poids du corps à 25 ans et 20% à 60 ans. La graisse quant à elle augmente d'environ 1/3. De ce fait, le métabolisme se ralentit, le nombre de calories dépensées par le corps diminue et les kilos s'installent. Pour conserver le même poids, la quantité d'aliments consommés devra donc diminuer. C'est cette donnée qu'il est difficile d'admettre car la saveur des aliments est un plaisir en soi, et peut être un substitut à bien des déplaisirs.
La raison principale de la prise de poids, reste le fait de manger trop et de ne pas se dépenser assez. C'est une question de balance énergétique. Donc pour perdre du poids, il faut réduire sa consommation alimentaire et brûler plus de calories.
pourquoi perdre du poids ?
Depuis de nombreuses années, des études cliniques sont menées sur cette question. Elles prouvent que la perte de poids a un effet bénéfique sur la santé. On sait aujourd'hui qu'on peut prévenir le diabète avec un style de vie adapté. Ce dérèglement du pancréas qui intervient dans l'assimilation des sucres a des effets insidieux et exige une surveillance régulière de son taux de glycémie dans le sang.
Une étude comparatives menée pendant 3 ans en Finlande entre un groupe référent et un autre soumis à un régime et à des exercices a montré que le second groupe avait réussit à perdre 3,5kg à la fin de l'étude avec une incidence positive de 50% sur le développement du diabète.
Aux Etats-Unis, un programme de prévention du diabète a été mis en place pour étudier l'effet sur cette maladie d'une part, de l'exercice et de la perte de poids, et d'autre part de la prise de médicaments. Là encore, pour le premier groupe, la réduction de poids a été significative et le risque de diabète diminué de plus de 50%.
Dans un cas comme dans l'autre, le groupe soumis à la diète et la pratique régulière d'exercice a enregistré de bien meilleurs résultats que les groupes témoins, même en cas de prise de médicaments par ces derniers.
En outre, d'autres effets bénéfiques ont été constatés chez les patients : une baisse de la pression artérielle, qu'ils souffrent ou non d'hypertension, et un taux de cholestérol, influant sur le risque cardiovasculaire, en baisse.
Une étude comparatives menée pendant 3 ans en Finlande entre un groupe référent et un autre soumis à un régime et à des exercices a montré que le second groupe avait réussit à perdre 3,5kg à la fin de l'étude avec une incidence positive de 50% sur le développement du diabète.
Aux Etats-Unis, un programme de prévention du diabète a été mis en place pour étudier l'effet sur cette maladie d'une part, de l'exercice et de la perte de poids, et d'autre part de la prise de médicaments. Là encore, pour le premier groupe, la réduction de poids a été significative et le risque de diabète diminué de plus de 50%.
Dans un cas comme dans l'autre, le groupe soumis à la diète et la pratique régulière d'exercice a enregistré de bien meilleurs résultats que les groupes témoins, même en cas de prise de médicaments par ces derniers.
En outre, d'autres effets bénéfiques ont été constatés chez les patients : une baisse de la pression artérielle, qu'ils souffrent ou non d'hypertension, et un taux de cholestérol, influant sur le risque cardiovasculaire, en baisse.
L'évidence est là, si votre médecin vous conseille de maigrir et de bouger, il se base sur des études scientifiques. Régime et fitness peuvent réduire de manière significative les risques de maladies chroniques mais la perte de poids doit être drastique.
de l’importance de stabiliser son poids
Ce n'est que sur la durée que l'on peut parler de poids perdu. Mieux vaut perdre ses kilos progressivement sur une longue durée que maigrir de façon importante sur du court terme.
Ainsi une étude publiée en 2005 portant sur plus de 4 000 personnes ayant perdus du poids, a établit que les chances de garder la ligne augmentent en fonction du temps de stabilisation de sa réduction de poids.
Si votre perte de poids remonte à moins de 2 ans et que vous relâchez votre effort, vous avez 100% de risque de reprendre au moins 2kg dans l'année, s'il y a plus de 2 ans et moins de 5 ans que vos kilos ont été perdus, vous avez environ 60% de chance de maintenir votre poids actuel et ce pourcentage atteint 70% après 5 ans.
Pour mettre en pratique une stratégie durable de réduction de son poids et adopter un bon mode de vie pour votre santé, nous vous donnons les 5 clés qui vous mèneront au succès.
Ainsi une étude publiée en 2005 portant sur plus de 4 000 personnes ayant perdus du poids, a établit que les chances de garder la ligne augmentent en fonction du temps de stabilisation de sa réduction de poids.
Si votre perte de poids remonte à moins de 2 ans et que vous relâchez votre effort, vous avez 100% de risque de reprendre au moins 2kg dans l'année, s'il y a plus de 2 ans et moins de 5 ans que vos kilos ont été perdus, vous avez environ 60% de chance de maintenir votre poids actuel et ce pourcentage atteint 70% après 5 ans.
Pour mettre en pratique une stratégie durable de réduction de son poids et adopter un bon mode de vie pour votre santé, nous vous donnons les 5 clés qui vous mèneront au succès.
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